Nos recommandations
issues de notre rapport
Partie 5 : Un modèle sportif qui doit pouvoir compter sur des ressources adaptées, tant sur le plan financier qu’humain
Se mettre en capacité de porter vis-à-vis de Bercy une vision plus percutante du financement du sport, à la fois plus complète et plus transparente (ex : recensement fiabilisé de l’ensemble des concours publics au sport de haut niveau, au sport santé, etc.), mais aussi plus responsable (ex : accent mis sur l’efficacité de l’euro investi, sur les indicateurs de performance clés des politiques sportives, y compris au regard des objectifs de santé publique).
Aider le mouvement sportif à développer ses ressources propres, étendre au sport le bénéfice de certains dispositions mises en place pour la culture, créer les conditions d’un investissement renforcé des entreprises dans le financement du sport (sponsoring, naming, mécénat, sport en entreprise, etc.) et tirer parti de la dynamique de certaines assiettes fiscales en envisageant de déplafonner le produit de leur affectation au sport en contrepartie de progrès significatifs des institutions sportives sur les aspects de gouvernance.
Encourager et valoriser le bénévolat en renforçant l’accès à des dispositifs de formation (via le compte d’engagement citoyen et par la mobilisation du compte personnel de formation), en accompagnant les dirigeants bénévoles dans des parcours de compétences certifiants et reconnus, en favorisant l’attractivité du dispositif pour les jeunes et en épaulant mieux les dirigeants de clubs par la création d’un service civique spécifique.
Placer la sécurité des pratiquants et des tiers au cœur des réflexions en cours sur l’évolution de la réglementation de la profession d’éducateur sportif, dont il faut corriger l’hyperspécialisation et la complexité, et moderniser les diplômes d’Etat jeunesse et sports pour les adapter tant aux évolutions de la formation professionnelle et de l’apprentissage qu’aux situations réelles d’emploi.
Faire de « La France sportive » une grande cause nationale durant le quinquennat.
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Partie 1 : Une nouvelle gouvernance partagée à compétences réparties qui renforcent la concertation…
Partie 2 : Un modèle pressenti d’agence qui apparaît surtout adapté pour la haute performance…
Partie 3 : Une politique du « sport pour tous » qui requiert une impulsion inédite…
Partie 4 : Un ministère des sports à réformer et une gouvernance des fédérations à rénover…
Partie 5 : Un modèle sportif qui doit pouvoir compter sur des ressources adaptées…